lundi 15 juin 2015

DES CADRES DE SENS COMMUN DANS L'ORGANIGRAMME DES REPUBLICAINS

Par Edouard in Le Salon Beige

Sens Commun dans l'organigramme des Républicains

Suite à la nomination des délégués et Secrétaires nationaux des Républicains, 3 cadres de Sens Commun sont nommés dans l'organigramme fonctionnel des Républicains:
  •     Sébastien Pilard, Président de Sens Commun est nommé Secrétaire général du Comité des Entrepreneurs
  •     Madeleine Bazin de Jessey, Porte-Parole, est nommée Délégué nationale en charge des programmes de formation
  •     Anne Lorne, Responsable Sud-Est de Sens Commun, est nommée Secrétaire Nationale à la petite enfance.

Sens Commun cite la présence dans l'organigramme des Républicains de nombreuses personnalités proches du mouvement :

    Laurent Wauquiez, Secrétaire général des Républicains
    Eric Woerth, Délégué général en charge du projet
    Philippe Cochet, Délégué National en charge des Fédérations du Sud
    Marie-Anne Montchamp, Secrétaire nationale en charge de la Protection Sociale
    Jean Baptiste Lemoyne, Secrétaire national en charge du Commerce et de l'Artisanat
    Valérie Boyer, Secrétaire nationale en charge de la Santé

Par ailleurs, Sens Commun a publié un communiqué contre la décision de la CEDH :


    "[...] Sens Commun rappelle que Vincent Lambert n’est pas en fin de vie. Il est en état de «conscience minimale» et ne peut s’exprimer. Il dort, se réveille, sourit ou pleure… Qui est la CEDH pour décider que cette vie n’a pas de valeur ? Un Etat ne peut s’arroger le droit d’ôter à la personne sa dignité.

    D’ailleurs, pour Sens Commun, il ne saurait y avoir de mort ou de vie « digne » ou « indigne ». Ces qualificatifs s’appliquent aux actes, aux décisions, mais pas à la mort ou la vie, qui sont, tout simplement. Et, aujourd’hui, nous nous interrogeons : arrêter de donner à boire et à manger à une personne handicapée, est-ce digne du pays des droits de l’Homme ?

    Sens Commun tient à faire part de son soutien aux parents de Vincent Lambert et regrette l’instrumentalisation faite autour de la situation de leur fils. Nous tenons aussi à dire et redire que l’un des fondements de notre société est l’interdiction de donner la mort. Une telle décision est une dérive inquiétante de notre société contre laquelle nous resterons mobilisés."

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